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Guêpe Commune

La Guêpe Commune ouVespula vulgaris

Sommaire

Description

La Guêpe commune fait partie de l’ordre des insectes endoptérygotes, les hyménoptères, appartenant à la famille des Vespidae.

Classe
Ordre
Famille
Genre
Espèce
Nom Scientifique
Insectes
Hyménoptera
Vespidae
Vespula
Vulgaris
Vespula Vulgaris

La guêpe commune ou Vespula Vulgaris est l’une de très nombreuses espèces de guêpes. On en décompte plus de 9000 types différents dans le monde.

La guêpe commune fait partie des espèces sociales et appartient à la sous-famille des Vespinae.

Cet insecte est originaire du continent Eurasiatique, territoire sur lequel il connait actuellement une forte réduction de sa population. A l’inverse, sur d’autres continents où la Vespula Vulgaris a été introduite, elle devient très invasive. C’est le cas en France.

A noter que cette guêpe est très souvent confondue avec la guêpe germanique de son nom scientifique la Vespula Germanica.

La guêpe commune ou Vespula Vulgaris possède les caractéristiques spécifiques de l’ordre des hyménoptères : elle mesure jusqu’à 20 mm ; elle possède des mandibules broyeuses ; des antennes avec 9 segments ou plus et une grande paire d’ailes antérieures liée à une petite paire d’ailes postérieures par des crochets (Hamuli). La guêpe n’a que très peu de poils et son corps paraît lisse et brillant. Elles ont une taille mince (le pétiole de l’abdomen), un abdomen rayé noir et jaune, et des antennes à 12 (reine et femelles) ou 13 segments (mâles). La Vespula Vulgaris possède la tache noire en forme d’ancre sur son clypéus.

1nuisible1solution.com Guepe Commune
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1nuisible1solution.com Guepe Commune
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Biologie et Comportement (Ethologie)

Le cycle de vie des guêpes communes est annuel. La jeune reine hiverne à l’abri des intempéries et se réveille au printemps. Elle se met en quête de liquides sucrés pour se nourrir et d’un emplacement où construire son nid.

Le nid

Le nid de guêpe est toujours débuté par la reine. Elle y construit une trentaine de cellules qui recevront les premières pontes. Ensuite, les premières ouvrières adultes poursuivent le travail jusqu’à leur mort.

C’est au début du printemps que la reine façonne le pétiole avant de construire une cellule unique sur l’extrémité. 6 autres cellules y seront ajoutées, autour desquelles vont se greffer d’autres étages.

Lorsque les larves atteignent une certaine taille, la reine va partager son temps et son activité entre leur nourrissage et la poursuite de la construction du nid.
Généralement, les nids sont construits de haut en bas. Ils possèdent des rangées de cellules qui sont séparées avec des pétioles.

Ensuite, lorsque les premières guêpes ouvrières sont assez fortes pour chercher de la nourriture et pour construire le nid, la reine se consacre exclusivement à la reproduction.

Le nid de guêpes est réalisé à l’aide de papier de bois. Pour ce faire, les guêpes utilisent des fragments de bois qu’elles arrachent à des pièces de bois à l’aide de leurs mandibules. Les Vespula Vulgaris mastiquent et humectent de leur salive les morceaux de bois pour obtenir une pâte (sorte de pâte à papier) qui en durcissant deviendra le matériaux gris ou brus à l’aide duquel sera confectionné le nid.

Le nid peut être souterrains, construit dans un ancien nid de mammifère comme par exemple celui d’un rongeur et agrandie ensuite par les guêpes ; à l’intérieur d’un bâtiment, dans la cavité d’un mur ; d’un doublage de mur ; sous tuiles ou charpente. Les guêpiers peuvent aussi être aériens, accrochés à une branche d’arbre ou sous la passe de toit d’un édifice, etc…

Le nid de guêpes est reconnaissable à sa forme généralement sphérique. Il est constitué d’un axe central (la pédicelle) par lequel il est suspendu à son support. Il possède un nombre variable de rayons disposés horizontalement et composés d’une couche unique de cellules hexagonales. L’ensemble des rayons est contenu dans une enveloppe. C’est à la face inférieure de cette carapace que se trouve l’ouverture du nid, le trou d’envol.

À son apogée, le nid peut dépasser 30 cm de diamètre et compter plus de 7000 individus. Les nids souterrains sous généralement plus gros que les nids aériens. Les nids de guêpes enfouis dépassent souvent la taille d’un ballon de football alors que ceux construits en l’air sont généralement plus petits. Sous nos climats, les nids sont annuels c’est-à-dire qu’ils ne sont pas occupés à nouveau l’année suivante. Les individus sexués quittent le nid en fin d’été. Seules les futures reines passeront l’hiver.

Le régime alimentaire

Dès le printemps et à la saison chaude, les guêpes ouvrières sont des prédateurs. Elles s’attaquent aux larves de divers insectes ; aux pucerons ; aux moustiques ; aux mouches ; aux chenilles et à bon nombre d’autres petits insectes quelles réduisent en bouillie avant d’ingurgiter.

Les guêpes s’alimentent aussi de charognes et de viande de boucherie fraîche. De manière générale, les guêpes se nourrissent d’insectes et de viande riches en protéines. Une part importante est assignée principalement aux larves.

A l’automne, les soins à apporter au couvain diminuent. Ce faisant, le régime alimentaire change et les ouvrières se nourrissent principalement du nectar de fleurs et de la pulpe de fruits mûrs. Les guêpes sont attirées par les substances sucrées. C’est à cette saison que l’approvisionnent en nourriture s’effectue à des distances du guêpier qui deviennent de plus en plus importantes.

Le comportement

Dès le printemps et à la saison chaude, les guêpes ouvrières sont des prédateurs. Elles s’attaquent aux larves de divers insectes ; aux pucerons ; aux moustiques ; aux mouches ; aux chenilles et à bon nombre d’autres petits insectes quelles réduisent en bouillie avant d’ingurgiter.

Les guêpes s’alimentent aussi de charognes et de viande de boucherie fraîche. De manière générale, les guêpes se nourrissent d’insectes et de viande riches en protéines. Une part importante est assignée principalement aux larves.

A l’automne, les soins à apporter au couvain diminuent. Ce faisant, le régime alimentaire change et les ouvrières se nourrissent principalement du nectar de fleurs et de la pulpe de fruits mûrs. Les guêpes sont attirées par les substances sucrées. C’est à cette saison que l’approvisionnent en nourriture s’effectue à des distances du guêpier qui deviennent de plus en plus importantes.

Implantation et repérage du nid chez la reine

Lorsque la reine a trouvé le site de nidification approprié, elle s’oriente de la même manière que les ouvrières et s’envole du trou. Elle vole d’avant en arrière devant le nid avec un vol stationnaire lent et répète ce mouvement jusqu’à ce qu’elle soit plus éloignée du trou. Lorsque la distance de vol augmente jusqu’à environ 2 mètres, la reine fait un vol en “8” de côté. Lorsqu’elle atteint une distance d’environ 18 mètres du nid, elle vole alors en ligne droite. C’est ainsi que la reine Vespula Vulgaris marque le terrain et définie les points de repère autour du site de nidification.

Comportements défensifs

Seules les guêpes qui quittent le nid remarquent une perturbation et défendent ou combattent un intrus. Celles qui reviennent au nid ne détectent aucune perturbation. Elles ne font que entrer dans le nid. Les ouvrières qui détectent un danger font un certain geste : elles se lèvent sur la pointe de leurs tarses (dernier segment des pattes des insectes, formée de 2 à 5 petites articles), avancent la tête, baissent l’abdomen et font constamment vibrer leurs ailes à haute fréquence et en battements courts. Ce comportement signale aux autres travailleurs qu’ils doivent voler jusqu’à l’entrée du nid et se défendre. Cependant, si le nid est suffisamment perturbé, les ouvrières cessent de le défendre et deviennent plutôt tolérantes à de telles attaques. Cependant, lorsqu’elles détectent un niveau de danger mortel, les ouvrières Vespula Vulgaris défendent vigoureusement leur nid. Contrairement aux abeilles domestiques, qui meurent après avoir piqué, la guêpe commune peut piquer plusieurs fois. Cela rend sa piqûre viable pour la défense personnelle lorsqu’elle est éloignée de la colonie, et la guêpe commune est donc plus susceptible de piquer. Cependant, elle ne pique généralement pas sans être provoquée par un mouvement soudain ou un autre comportement violent.

Les recherches indiquent que les guêpes utilisent l’odeur pour identifier et attaquer les guêpes rivales des autres colonies, et l’odeur du nid change fréquemment. Les guêpes communes ont été observées en concurrence agressive avec les abeilles à miel pour le miellat sécrété par la cochenille Ultracoelostoma brittini.

Les comportements d'hivernage

Après l’accouplement, la reine passe l’hiver dans un trou ou un autre endroit abrité, parfois dans des bâtiments. Les nids de guêpes ne sont pas réutilisés d’une année à l’autre, mais dans de rares cas, on a vu des guêpes nicher à nouveau dans l’empreinte d’un nid enlevé ou même commencer à construire un nouveau nid dans un ancien nid. Dans le climat doux, quelques colonies peuvent survivre à l’hiver, bien que cela soit beaucoup plus fréquent avec la guêpe allemande.

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Écologie et Distribution

L’origine du genre Vespula est Européen. L’espèce est invasive dans de nombreux pays de l’hémisphère sud. Les colonies de guêpes sont relativement petites c’est-à-dire de quelques milliers d’individus. L’espèce Vespula Vulgaris, la guêpe commune se trouve dans la région holarctique, à Hawaii, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Elle est également très commune au Québec et dans le reste de l’Amérique du Nord.

Elle préfère les milieux ouverts, secs à moyennement humide y compris urbanisés.

La guêpe commune possède une grande capacité d’adaptation à son environnement. Elle s’acclimate à la plupart des types d’habitats, de la prairie au bâtiment en passant par les forêts et les zones urbaines jardinées. Cependant, la Vespula Vulgaris n’est bien que lorsque la température commence à être modérément chaude (supérieure à 2°c). En effet, faute de cela, sa recherche de nourriture ne sera pas activée.

La guêpe commune est présente en Europe et en Asie tempérée. L’espèce est invasive dans de nombreux pays de l’hémisphère sud.

Elle préfère les milieux ouverts, secs à moyennement humide y compris urbanisés.

C’est une des rares espèces de guêpes à incommoder l’homme.

1nuisible1solution.com Guepe Commune Origines
Origines des échantillons de Vespula Vulgaris. Les échantillons sont colorés en fonction de leur pourcentage de similarité génétique avec un ou plusieurs des spécimens de Nouvelle-Zélande. Le spécimen chinois présentait la plus grande différence génétique (2,9 % de différence de paires de base) par rapport aux échantillons néo-zélandais (l’emplacement de l’échantillon chinois n’est pas indiqué sur la carte).

Environnement et Interaction

La Vespula Vulgaris est une espèce plutôt en régression démographique ou qui a disparu d’une partie de son aire naturelle de répartition notamment en Europe. Les insecticides utilisés en agriculture et dans les jardins y compris la destruction quasi systématique des nids depuis plusieurs décennies sont soupçonnés d’être à l’origine de ce recul. En revanche, où elle a été involontairement introduite, par exemple en Australie et en Nouvelle-Zélande, elle se montre (comme la Vespula Germanica, une espèce proche, également introduite dans ces régions) très invasive localement.

Sur le plan de leurs interactions avec leur environnement, les guêpes sont très utiles puisqu’elles détruisent de grandes quantités d’insectes nuisibles (chenilles) ou gênants (mouches). De plus, comme elles se nourrissent aussi de nectar, elles participent à la pollinisation.

Dommage collatéral, les guêpes s’attaquent également aux fruits mûrs dans lesquels elles creusent pour en recueillir le jus sucré. Elles raclent aussi l’écorce tendre des jeunes arbres pour obtenir de la sève sucrée et des fibres servant à construire le guêpier.

Enfin, en été et en automne, elles pénètrent dans les habitations à la recherche de substances sucrées ou de viande.

1nuisible1solution.com Guepe Commune Carte Distribution France
Données de présence actuelle et historique

Les Dégâts et Conséquences

La guêpe commune ne créée pas à de dégâts majeurs. Elle interagit avec son environnement pour y trouver de la nourriture pour les larves et elle-même. Ce faisant, elles provoquent quelques nuisances.

Sur le plan de l’environnement naturel, elle créée des dégradations sur les fruits de vergers ou d’arbres fruitiers isolés ainsi que des salissures suite aux déjections :

  • Se nourrissant de fruits mûrs, elles les creusent afin d’en manger la pulpe et selon leur nombre et en cas de forte infestation, peuvent s’attaquer à la totalité d’un petit verger.
  • S’agissant des salissures, on les retrouvent souvent à l’aplomb des gros nids. Ce sont les excréments rejetés par les ouvrières.

Sur le plan de sa relation aux hommes, elle est une des rares espèces de guêpes à l’incommoder :

  • En été, lorsqu’elles viennent boire dans l’eau entourant les points d’eau domestique.
  • En fin de saison estivale, à la naissance des femelles fertiles. Cela provoque la fin de la cohésion dans la colonie et la désorientation des ouvrières. Celles-ci cherchent alors d’autres sources de nourriture comme des aliments sucrés et de la viande. Elles s’incrustent dans les activités humaines. Sans la nécessité d’agrandir le nid ou de nourrir les petits, ce sont ces ouvrières désorientées qui piquent si elles se sentent attaquées.

Le venin de la guêpe

La guêpe possède une aiguillon capable de traverser les vêtements. Contrairement aux abeilles qui meurent après avoir piqué en laissant leur dard dans leur victime, la guêpe commune peut piquer plusieurs fois. En effet, l’aiguillon ne reste donc pas dans la plaie (contrairement à celui des abeilles). Elle serait donc tentée de piquer à répétition.

La piqûre est assez douloureuse mais généralement pas dangereuse. les principaux allergènes sont l’antigène 5 (Ves v5), la hyaluronidase (Ves v2) et la phospholipase A1 (Ves v1). Les réactions croisées entre les différents membres de la famille des Vespidae (Vespula, Dolichovespula, Vespa), donc entre la guêpe commune et le frelon par exemple, sont importantes. Par contre, elles sont nettement moins importantes entre la famille des Vespinae et celle des Polistinae.

Les réactions cliniques

Chez la majorité des individus piqués par une guêpe, une réaction locale se développe sous la forme d’une petite papule accompagnée d’une démangeaison et d’une douleur qui disparaît en quelques heures.

Parfois, une réaction locale sévère peut survenir chez environ 20 à 25% des individus piqués. Celle-ci se manifeste par une papule de plus de 10 mm qui persiste plus longtemps, habituellement 24 à 48 heures mais peut durer jusqu’à dix jours. Cette atteinte peut avoir une ampleur conséquente et toucher l’ensemble d’un membre piqué. Elle peut s’accompagner d’une lymphadénite locale (infection aiguë d’un ou de plusieurs ganglions lymphatiques) et de manifestations systémiques sous la forme d’un malaise généralisé et d’un état fébrile.

En principe, lors d’une réaction locale même sévère, aucune intervention spécifique n’est nécessaire puisque la majorité de ces réactions sont d’origine toxique.

D’aucuns suggèrent toutefois une désensibilisation en cas d’exposition importante (les apiculteurs notamment) et d’altération considérable de la qualité de vie liée aux réactions. Ce traitement a naturellement montré une efficacité moindre que lors de réaction d’étiologie anaphylactique avérée.

Les réactions systémiques

Les réactions du système (réponse inflammatoire systémique) vont d’une atteinte uniquement cutanée jusqu’au choc anaphylactique. Ces réactions sont dans la grande majorité des cas médiées par les IgE et sont classées par H. L. Müller en stades I à IV, selon la gravité (voir le tableau ci-contre). Les réactions de ce type surviennent le plus souvent dans l’heure suivant la piqûre mais peuvent apparaître jusqu’à 24 heures après. Les réactions anaphylactoïdes (non médiées par les IgE) sont rares. Elles apparaissent après piqûres multiples (en général > 100 piqûres chez l’adulte) et sont liées à un effet toxique du venin.

Chez les sujets non allergiques, on estime que la quantité létale de venin équivaut à la quantité qui serait injectée simultanément par un nombre de piqûres, par kilo de poids, allant de 15 à 40 chez l’enfant et d’environ 60 chez l’adulte. Une piqûre de guêpe dans la bouche ou dans la gorge est toujours dangereuse, l’œdème consécutif pouvant provoquer l’asphyxie.
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© Stuart Nathaniel
1nuisible1solution.com Guepe Commune Classification Ractions Anaphylactiques
Classification Réactions Anaphylactiques Venins Hyménoptères - H.L. Müller

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Les Solutions Préventives et Curatives

La Prévention

Eloigner les guêpes

La première règle consiste à supprimer toutes les sources alimentaires dont la guêpe raffole.

Ainsi, en été on éloignera les poubelles de l’habitation et on prendra soin de bien les fermer.
Les ordures ménagères attirant fortement les guêpes, il faudra éviter de laisser des restes de nourriture à l’air libre, dans le jardin, dans la maison et dans la gamelle des animaux domestiques (les croquettes ne posent pas de problème).

Par ailleurs, pour ne pas les attirer vers soi, il faut éviter d’être parfumé dans votre jardin ou d’employer des crèmes ou des lotions à odeurs fruitées.

Limiter le Nombre de Reines

On pourra préventivement limiter la prolifération des nids en attrapant certaines reines.

Au printemps, la mise en place de piège dédiés à cela permettra dès les premières chaleurs, d’attirer les reines fécondées sortant d’hibernation, seules rescapées de la colonie de la saison précédente. Les reines vont élaborer une première ébauche de nid d’où sera issue une première génération d’ouvrières chargées d’agrandir l’édifice pendant qu’elles œuvreront pour assurer leur descendance.

C’est entre la fin du mois de février et le début du mois de mai que l’on voit des reines esseulées parcourir leur environnement à la recherche d’aliments et de matières nécessaires à la construction du nid et la subsistance de la progéniture.

C’est à cette période que les reines peuvent être capturées.

La Lutte Curative

Les Répulsifs Naturels

Des solutions naturelles existent pour éloigner les guêpes de votre environnement. Elles sont plus ou moins efficaces et pérennes mais ont l’avantage d’être simples et peu onéreuses.

Les guêpes sont sensibles à certaines odeurs qui ont un effet répulsif. Ainsi, les plantes telles que la lavande ; la menthe ; la tomate ou encore le thym, leur déplaisent.

Les guêpes sont également indisposées l’odeur du clou de girofle ; du vinaigre blanc ; des fumées d’encens.

Enfin, certaines huiles essentielles les éloignent telle que celle de citronnelle ; de lavande ou lavandin ; de clou de girofle et d’autres à votre connaissance. En synergie ou en usage isolé, elles sont à utiliser en vaporisation ou nébulisation dans un espace relativement modéré.

La Destruction des Nids de guêpes

La présence d’un ou de nids de guêpes à proximité d’une habitation est angoissante. Les risques sanitaires peuvent être importants et les nuisances sonores causées par le bourdonnement des insectes et l’insalubrité de leurs déjections incommodent.

Il convient donc de se débarrasser des nids.

 
Comment détruire un nid de guêpes avec un aérosol à effet choc ?
  • L’idéal est d’entreprendre la destruction des nids au printemps. A cette saison, la reine commence tout juste sa colonie et ne dispose que de quelques guêpes ouvrières.
  • Ensuite, Il est recommandé d’attaquer le nid pendant la nuit. Les guêpes deviennent moins actives et donc moins agressives dans l’obscurité. Elles seront également moins virulente si elles étaient amenées à attaquer.
  • Pensez à utiliser une lumière rouge ou ambrée pour vous éclairer. Evitez la lumière blanche d’une torche qui provoquerait les guêpes.
  • A défaut d’une nuit noire, vous pouvez également opter pour une intervention très matinale, avant l’aube lorsque la lumière est encore douce.
  • Habillez-vous de vêtements aux manches et jambes longues pour vous protéger.
  • Pulvérisez directement sur le nid en suivant les indications du fabricant du produit en aérosol.
  • Laissez agir. Ne demeurez pas dans le lieu de traitement vous risqueriez d’être attaqué. Attendez le lendemain pour voir le résultat.
  • Renouvelez l’opération le soir suivant si des guêpes sont toujours présentes.

Piéger les guêpes envahissantes

Malheureusement, les guêpes peuvent devenir un fléau lorsqu’elles ont élu domicile à proximité d’une habitation ou dans un verger pouvant nuire aux personnes allergiques, âgées ou aux enfants en bas âge.

Si vous souhaitez éviter d’utiliser les insecticides, vous pouvez opter pour une solution alternative, écologique, qu’est le piège à guêpes.

Le piège se place à l’extérieur et est réutilisable. Vous pouvez en confectionner vous-même ou en acheter de spécialement étudiés pour la capture des guêpes, des frelons et des mouches aux abords des maisons, des piscines et dans les jardins.

Les pièges du commerce se présentent généralement sous forme de cloches en polycarbonate et polypropylène disposant à d’une base récipient recevant le liquide attractif et d’une voie d’entrée. Ils s’accrochent à l’aide d’un crochet ou se posent sur leur base.

L’attractif liquide guêpes peut être réalisé par vos soins ou également acheté auprès de boutiques spécialisées telle que 1nuisible1solution.com proposant des produits à très fort pouvoir d’attraction.

Protéger les Fruits

En lutte active, existe une solution séculaire plus ancienne que les produits phytosanitaires permettant de protéger les fruits des nuisibles et donc des guêpes : l’ensachage.

Cette méthode est plutôt intéressante pour les particuliers disposant de quelques arbres fruitiers ou végétaux à fruits car elle permet d’éviter des traitements en garantissant la qualité des fruits.

Les sacs anti-insectes protègent de nombreux types de fruits des oiseaux et des guêpes, des frelons et empêchent les attaques de Drosophile, spécialement pendant la phase de mûrissement.

Il convient d’ensacher au bon moment afin d’obtenir une protection et prévention multiple.

Les oiseaux et les insectes ne peuvent pas mordre à travers la maille fine du sachet anti-insectes et ne peuvent pas s’y retrouver piégés.

Le choix du sachet se fait selon certains critères. Dans un sachet de qualité, l’air doit y circuler librement, les rayons de soleil doivent y pénétrer. Certains sachets offrent aussi une protection additionnelle contre des maladies fongicides. Les mailles doivent êtres très fines (entre 0,8 mm et 1 mm) afin de garantir une protection efficace contre les ravageurs. Ils doivent être faciles et rapides à mettre en place et de couleur claire pour ne pas chauffer le fruit.

1nuisible1solution.com piège à guêpe
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Guepe Commune Sachet protection fruit
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